Médias sociaux et actifs numériques Galerie – cacao Image Partager Téléchargez Emiliana Aguilar et Gilberto Rodríguez, ACOPAGRO (Pérou) Antonio Reyes, CONACADO (République dominicaine) : « Nous sommes certifiés Fairtrade depuis de nombreuses années. Nous prenons soin de l’environnement parce que nous savons que nous devons progresser chaque jour pour que tout soit biologique, à l’inverse des produits chimiques qui nuisent à la santé. » Bethy Juzga Gargat, ACAOPAGRO (Pérou) : Notre sommes une organisation de plus de 2 000 petit·es productrice·eurs de cacao à qualités particulières. Notre principale activité consiste à promouvoir des pratiques culturales cacaoyères adaptées, depuis la ferme jusqu’à l’exportation de fèves de cacao biologiques, en passant par l’entretien et la récolte. Fairtrade nous donne des primes que la coopérative reverse dans l’infrastructure, la formation et l’assistance que nous apportent les techniciens. C’est pourquoi nous disons merci à Fairtrade et aux technicien·es, salarié·es de la coopérative, qui nous assurent des services et nous préparent à l’exploitation. » Marlon Nalvarte et Alfredo Cordori, EL QUINACHO (Pérou) : « Pour notre part, on a commencé en 2010 comme débutants, mais la troisième année, on est devenus des productrice·eurs bio. La coopérative nous instruit sur les pratiques culturales biologiques, de quoi nous assurer l’accès au commerce équitable et au soutien en termes de machines, de cultivateurs, d’engrais, d’assistance technique et de santé, entre autres. De fait, s’agissant de l’assistance technique, la coopérative nous apprend comment mener à bien divers procédés, la fertilisation, la culture, l’élagage et ainsi de suite. Année après année, nous, les agricultrice·eurs, améliorons la qualité du cacao biologique. » Sarita Urbano et William Urbano, EL QUINACHO (Pérou) : « Fairtrade, grâce à la coopérative, nous aide à financer le matériel de cours, à suivre les cours et à mettre en œuvre nos pratiques. » Bonifacio Bravo, membre de la Cooperativa Agraria Cafetalera Pangoa, en dresse le profil : « La coopérative a vu le jour le 2 octobre 1977, à l’initiative de 50 associés productrice·eurs de café, dans le but d’améliorer le prix de leurs produits. Depuis lors, elle mène un travail coopératif et solidaire efficace en réponse aux besoins collectifs des membres et de la collectivité en général. L’activité principale, la collecte du cacao biologique, conventionnel et certifié Fairtrade auprès de ses productrice·eurs, ainsi que la commercialisation, consiste aussi à s’assurer de la qualité du produit et de l’excellence du service client. Aujourd’hui, notre organisation est solide et jouit d’une notoriété nationale et internationale, grâce à l’effort commun des travailleuse·eurs et au travail efficace de l’équipe constituée de professionne·lels, de technicien·nes et de membres du personnel administratif. » Arelys Paulino, membre de COOPROAGRO, a des motifs de confiance : « Nous sommes fiers de produire le meilleur cacao dominicain. Dans notre coopérative, la qualité est partie intégrante de la culture et de la philosophie de travail. L’ensemble du processus, de la ferme à l’expédition, est rigoureusement contrôlé par notre équipe, ce qui signifie que la qualité convenue est toujours assurée à nos clients. Dans le passé, nous étions victimes des grands exportateurs, mais aujourd’hui, grâce à Dieu et à COOPROAGRO, nous bénéficions d’un bon prix, fruit de Fairtrade. » Michelle Morocho est membre d’UNOCACE, en Équateur, une organisation constituée à présent de 20 associations regroupant 1 900 petit·es productrice·eurs de cacao dans huit (8) provinces du pays : « Nous, les productrice·eurs, avons connu un changement très positif dans la mesure où, étant membres d’une association et grâce aux primes que nous procure la certification, nous avons apporté une contribution notable en termes d’infrastructure, d’acquisition de nouvelles machines, telles que des caisses de fermentation, des séchoirs et des auvents, au service de l’association. » Loyel Haro est membre de Cacao Tocache, au Pérou, fondée à l’origine, en 1987, comme un comité central et dotée du statut légal de coopérative en 1990, grâce aux efforts des petits productrice·eurs de cacao. Aujourd’hui, l’organisation compte 440 membres, dont 67 % de femmes. « Grâce aux primes équitables, nous faisons des progrès et cherchons à aller plus loin, parce que nous voulons bien bénéficier toujours de votre soutien. Le volet social me semble important puisqu’il touche directement les membres au travers des projets qui, en améliorant des infrastructures et le milieu social des membres, contribuent à l’essor de la coopérative et à son rayonnement Fairtrade. » Karina Avilés, UNOCACE (Équateur) : « Je voudrais vous dire à quel point l’achat des produits certifiés Fairtrade est très bénéfique puisque tout ce qui nous est reversé, à nous les petit·es productrice·eurs, nous est bien utile. » Composition avec poudre de cacao et fèves sur fond de couleur Hand holding aromatic cocoa beans, closeup